quadrivalents造句

• De plus, la fréquence moyenne des quadrivalents dans la population était considérablement plus basse, comparativement à ce qu'on a trouvé chez les lignées consanguines.
• Habituellement, les homologues forment des bivalents, mais fréquemment des quadrivalents et même des hexavalents ont été observés qui étaient constitués d'un même type de chromosome.
• Les appariements entre chromosomes homologues prennent, de façon prédominante chez les ovules, la forme de trivalents chez les triploïdes et de quadrivalents chez les tétraploïdes.
• L'identification non ambiguë des points de rupture de la translocation sur les quadrivalents a permis la localisation de ces points de rupture sur les chromosomes.
• Sauf pour un seul des noyaux au stade pachytène, l'appariement des quadrivalents s'est opéré régulièrement et les quatre bras appariés furent généralement faciles à identifier.
• Toutefois, l'application des modèles de Sybenga suggère que le système responsable de la faible fréquence de quadrivalents serait celui de l'appariement plutôt que celui des chiasmas.
• À la prophase I, les fréquences de quadrivalents sont élevées chez les trois tétrasomes A, D et C et partiellement dépendantes de la dimension des chromosomes.
• Des trivalents Robertsoniens, des trivalents trisomiques et des quadrivalents annulaires tétrasomiques ont présenté des fréquences d'orientation indifférente ou linéaire une fois sur trois en metaphase I tardive.
• Leur appariement moyen fut de < 0,01VI + 0,55IV + 0,26III + 11,75II + 1,42I; la fréquence de quadrivalents par cellule a varié de 0,10 à 1,53.
• A la diacinèse, les plantes tétraploïdes P21 ont présenté une moyenne de 0,85 univalents, 21,12 bivalents ouverts, 6,66 bivalents fermés, 0,21 trivalents et 2,74 quadrivalents par cellule.
• La détermination des bras a nécessité la translocation des quadrivalents avec au moins un chiasma interstitiel et une distance suffisante entre le site d'hybridation et le centromère.
• La fréquence moyenne des trivalents et la somme moyenne des trivalents et des quadrivalents ont respectivement servi d'indices aux appariements triploïdes et tétraploïdes pour établir la validité des valeurs c diploïdes.
• Malgré les faibles fréquences inattendues de quadrivalents chez les quatre génotypes, les moyennes de fréquences de bivalents les plus élevées ont semblé être associées à une plus grande diversité des homologues.
• Les variations dans la longueur des bras des quadrivalents ont pu résulter d'appariements incomplets de non-homologues au point de séparation et de taux de contraction différentiels entre les segments de chromosomes.
• Au stade pachytène, l'alignement est supprimé et les quatre axes sont en synapse deux à deux, formant des bivalents ou, s'il survient des commutations de partenaires dans les axes synaptiques, des quadrivalents.
• Les anomalies chromosomiques des plantes, dont l'appariement à la métaphase était normal, incluent : des univalents, des bivalents inégaux, des bivalents en bâtonnets, des trivalents, des quadrivalents ouverts et des fragments centriques.
• À la métaphase I, la fréquence de quadrivalents a été de 0,444; les quadrivalents ramifiés étaient rares, probablement à cause d'interférence et de restrictions dans la formation de chiasmas dans l'euchromatine distale.
• À la métaphase I, la fréquence de quadrivalents a été de 0,444; les quadrivalents ramifiés étaient rares, probablement à cause d'interférence et de restrictions dans la formation de chiasmas dans l'euchromatine distale.
• Comparativement aux première générations C le comportement méiotique de la population s'est amélioré nettement par une hausse de la fréquence des quadrivalents et une baisse presque conséquente des trivalents et des univalents.
• Les fréquences élevées de quadrivalents à la prophase I dépassent largement les deux tiers attendus, d'après un modèle simple ayant deux sites d'appariement terminaux indépendants, ce qui suggère qu'une initiation multiple d'appariements survient.