actinorhiziennes造句

• Frankia, facteur déformant des poils absorbants, facteurs Nod, plantes actinorhiziennes.
• Seulement 14 % des parcelles supportent des espèces de plantes actinorhiziennes.
• Les souches de Frankia induisent typiquement des nodules fixateurs d'azote sur les racines des plantes actinorhiziennes.
• Ces plantes-hôtes actinorhiziennes étaient de différentes provenances soit du Canada, des U.S.A., de France et de Hollande.
• Les racines associées aux Frankia forment des nodosités.Les plantes pouvant former des nodosités en symbiose avec Frankia sont appelées plantes actinorhiziennes.
• La connaissance des conditions optimales de sporulation in vitro de Frankia est une étape essentielle pour la préparation de spores devant servir d'inoculum pour des plantes actinorhiziennes.
• Les auteurs ont étudié la compatibilité entre des plantes hôtes actinorhiziennes et le Frankia sp. en examinant la vitesse de nodulation sur des plantules d’Alnus spp. et de Myrica gale.
• Les trois souches de Frankia, UFGCeI5 de Casuarina equisetifolia, UFGCgI1 de Casuarina glauca et UFGMuI1 de Myrica pubescens, colonisent et produisent des nodules racinaires sur un ensemble de plantes hôtes actinorhiziennes.
• L'application de techniques de gradient de température sur gels électrophorétiques à des nodosités actinorhiziennes a permis de détecter et d'identifier les séquences d'ADNr 16S des habitants Fix+ et Fix- des nodosités.
• Les plantes actinorhiziennes sont des angiospermes caractérisées par leur capacité à former des nodosités fixatrices d'azote au niveau des racines en s'associant avec des bactéries filamenteuses du sol du genre Frankia.
• Les plantes actinorhiziennes sont généralement des espèces pionnières adaptées aux sols pauvres ou perturbés. Elles jouent un rôle important dans la colonisation de ces milieux, en préparant l'établissement d'espèces moins robustes.
• La probabilité de nodulation des plantes hôtes par les Frankia du sol est augmentée par la présence de plantes actinorhiziennes en général, mais non par la présence de leur plante hôte spécifique respective.
• Les données supportent indirectement la suggestion que la balance entre les flavonoïdes stimulateurs et inhibiteurs, dans les racines et les exsudats racinaires, pourrait contribuer à la régulation de la nodulation chez les plantes actinorhiziennes.
• La classification des actinomycètes dans le genre Frankia Brunchorst a été établie en partie d'après leur morphologie, mais principalement d'après leur aptitude à former des nodosités fixatrices de N2 sur les racines de plantes-hôtes actinorhiziennes.
• Les plantes actinorhiziennes possèdent cependant un ancêtre commun relativement proche avec les Fabacées, l'autre groupe de plantes fixatrices d'azote qui interagit avec des rhizobium, ce qui se traduit par de nombreuses similarités entre les deux systèmes symbiotiques.
• Bien qu’on ait largement utilisé les aulnes à l’échelle industrielle en foresterie, comme plantes compagnes et pour la réhabilitation des sols contaminés, relativement peu de recherches ont porté sur leurs interactions actinorhiziennes et mycorhiziennes plante-microbe, dans des environnements contaminés.
• La plupart des sols nus contiennent une réserve substantielle de phosphore et d'azote sous forme de résidus de matière organique, mais les espèces rhizobiennes et actinorhiziennes jouent un rôle important dans la dynamique et le rôle des mycorhizes est probablement critique.