anthéridies造句

• Des rhizoïdes pluricellulaires sont formés sur les anthéridies.
• Leurs organes reproducteurs sont des archégones et des anthéridies.
• Les microprothalles portent les anthéridies et les macroprothalles, les archégones.
• Leurs gamétophytes haploïdes produisent des archégones, et des anthéridies qui contiennent 64 spermes.
• Quatre-vingt-quatorze pour cent des SSI forment des oogones, habituellement avec des anthéridies paragynes.
• L'incidence des zygonèmes et des pachynèmes est simultanée dans les anthéridies et dans les oogonies.
• Les prothalles se sont développés en gamétophytes épais, en forme de disques et portaient des anthéridies.
• Bien qu'il y ait des ascogones fonctionnels, la sexualité est apparemment parthénogénétique puisque les anthéridies n'ont jamais été observées.
• Le nombre et la forme des anthéridies sont variables aussi bien entre que parmi les isolats dans les deux groupes.
• Les anthéridies se situent sur une crête anthéridiale médiane et les archégones naissent sur les flancs abruptes de cette crête.
• Les noyaux de l'oogone subissent des divisions méiotiques synchrones qui semblent identiques à celles qu'on a déjà rapportées chez les espèces possédant des anthéridies.
• Des gamétophytes du Botrychium lunarioides poussant en culture axène sont des tructures épaissies, blanches et dorsiventrales ayant des anthéridies et des archégones sur leur surface dorsale.
• Les gamétophytes triploïdes ne produisent pas d’archégone, mais produisent des anthéridies à 32 spermes, significativement plus larges en diamètre que les anthéridies produites par les gamétophytes haploïdes.
• Les gamétophytes triploïdes ne produisent pas d’archégone, mais produisent des anthéridies à 32 spermes, significativement plus larges en diamètre que les anthéridies produites par les gamétophytes haploïdes.
• Des observations microscopiques effectuées sur des oogones et des anthéridies amphigynes de Phytophthora capsici a plusieurs étapes de leur développement montrent que l'hyphe mère de l'anthéridie entoure l'hyphe mère de l'oogone.
• Cette espèce se distingue par des oogones et oospores de grande taille, des anthéridies surtout paragynes et par des sporanges persistants, surtout sphériques ou ovoïdes, naissant principalement sur des sporangiophores simples et non ramifiés.
• Il se distingue principalement par de petites oogonies et oospores et par des anthéridies dont la forme varie et qui sont fréquemment ornées de fentes et de replis simples ou multiples, caractère dont le nom de l'espèce a été tiré.
• Le type sexuel A1 de Phytophthora infestans, après avoir été apparié au type sexuel A2 de P. parasitica, P. palmivora, P. capsici ou P. infestans de part et d'autre d'une membrane de polycarbonate, forme des oogones auxquels sont attachées des anthéridies et qui contiennent souvent des oospores matures à parois épaisses.
• Dans les jeunes oogones et les jeunes anthéridies de Pythium acanthicum on retrouve les structures suivantes, densément regroupées et distribuées au hasard : plusieurs mitochondries, dictyosomes, noyaux et vacuoles interconnectées de divers types dont certaines contiennent une masse dense de réserves; une variété de vésicules, du réticulum endoplasmique et des ribosomes cytoplasmiques.