bouche-trou造句

• Le Snider est une arme autant dire inutile, un simple bouche-trou.
• Rapidement, les dessinateurs français n'auront plus leur place à part Michel-Paul Giroud comme bouche-trou dans quelques revues.
• Un dessinateur bouche-trou intervint au numéro 28 et 29: visiblement pour terminer l’épisode ébauché par le premier dessinateur.
• Personnage servant au départ de bouche-trou aux absences de George Takei, Chekov devient rapidement l'un des membres à part entière de l'équipage.
• L arrive bien trop souvent que les résidents soient traités comme de simples étudiants ou, pire encore, comme des « bouche-trou ».
• C'est au mieux une mesure temporaire - on pourrait l'appeler un bouche-trou - pour se donner le temps de trouver une véritable solution.
• Cependant, ce ne serait qu'une solution bouche-trou qui ne libérerait peut-être pas suffisamment de fonds pour permettre aux entreprises d'accomplir les travaux d'éradication requis par l'ACIA.
• Soucieux d'éviter que le Fonds ne devienne un bouche-trou commode, le Groupe consultatif estime que la catégorie des interventions sous-financées devrait être définie de façon plus précise.
• Les budgets des années 2000-2001 et 2001-2002 apportèrent bien un peu de fonds supplémentaires mais, de l’avis généralisé, il ne s’agissait que d’une mesure de bouche-trou temporaire1.
• Les programmes d’emploi étaient toujours perçus par les employeurs comme des mesures bouche-trou qui ne font que doter des postes impossibles à combler autrement et qui manquent généralement de substance.
• Une mesure bouche-trou qui permet d’embaucher des employés pour des durées temporaires, sous condition que leur contrat ne soit pas renouvelé, condamne les moins qualifiés à une alternance déprimante de chômage et d’emplois temporaires.
• Le juge en chef Thurlow, qui a rédigé la décision unanime de la Cour, a déclaré qu’un emploi temporaire ou occupé à titre de bouche-trou par un prestataire en attendant la fin du conflit de travail" ne correspond pas au sens de l'al.
• Le conseil est d'avis que par suite d'un vote de grève ordonné le 15 mars 1961, après des mois de pourparlers relatifs aux salaires qui ont abouti à une impasse, et sachant la grève imminente, la compagnie a employé le réclamant comme simple bouche-trou et s'en est servi comme d'un instrument et d'un jouet dans sons différend ouvrier, de sorte qu'après la grève elle n'avait plus besoin de ses services.