dalon造句

• L'abbaye de Dalon est une abbaye cistercienne en Périgord.
• Le Dalon est une rivière française des régions Limousin et Aquitaine, affluent de l'Auvézère.
• Le célèbre troubadour Bertrand de Born, seigneur de la localité voisine d'Hautefort se retira comme moine à Dalon.
• En Périgord, au XIIIe siècle, les baux étaient versés en huile de noix à l'abbaye cistercienne du Dalon.
• Madeleine van Mieghem, L'abbaye cistercienne de Notre-Dame du Dalon de 1790 à 1814, , imprimerie SEIC 24160 Clairvivre, 1976.
• Dalon possédait une douzaine de granges en Périgord et le petit prieuré de Saint-Blaise sur la commune de Milhac de Nontron.
• Vestiges de l'Abbaye de Dalon dont le bâtiment des moines avec sa salle capitulaire et deux chapelles du transept droit de l'église.
• Fondée en 1121 par des moines venus de l'abbaye de Dalon en Périgord, elle fut rattachée comme sa mère à l'ordre de Cîteaux en 1162.
• Louis Grillon, Le domaine et la vie économique de l'abbaye cistercienne de Notre-Dame de Dalon en Bas-Limousin , doctorat de 3 cycle, Bordeaux, 1964, cote A. D. Dordogne, A 1569.
• Dans une région de dolmens et de brigands, 13 moines viennent de l'abbaye de Dalon en Limousin pour fonder en 1123 la première abbaye dans l'esprit de Cîteaux en Rouergue.
• À la mort de Roger en 1159, les moines de Dalon demandèrent au chapitre général de l'abbaye cistercienne de Pontigny de bien vouloir leur fournir des moines instructeurs, car les deux ordres pratiquaient la même règle de saint Benoît.
• Sus aquelas entremièjas lo rei Enric d’Anglatèrra la prenguèt per molhèr e se la menèt dins son país. En Bernat demorèt deçà triste e dolent e se’n anèt al bon Comte de Tolosa ont demorèt d’aquí que lo Comte moriguèt. A sa mòrt, En Bernat, per aquela dolor, se rendèt a l’òrdre de Dalon e aquí finiguèt.
• En 1162 peu après l'élection du troisième abbé, Amélius, Dalon adhéra finalement à l'ordre de Cîteaux avec ses filles: Bœuil, le Palais, Bonlieu, Loc-Dieu et Prébenoît. Elle devint ainsi la troisième fille de Pontigny en prenant rang à la date de 1120, au lieu d'être la dix-septième, car observant cette règle commune aux deux observances depuis cette époque.