hautboïstes造句

• Les parties de cor anglais ou de hautbois d'amour sont jouée par l'un des hautboïstes.
• Albrecht Mayer fait partie des hautboïstes les plus sollicités à ce jour en tant que concertiste.
• Elles n'étaient qu'enchaînements de trilles, arpèges et gammes chromatiques obligeant les hautboïstes à pratiquer la respiration circulaire.
• Leurs successeurs, François et Lucien Lorée, fabriquent le «Modèle Conservatoire à plateaux» qui sera rapidement adopté par tous les hautboïstes.
• Pour bien vibrer, l’épaisseur et la forme de ce grattage doivent être précis et beaucoup de hautboïstes se désespèrent sur cette activité.
• Considéré comme l'un des hautboïstes français les plus renommés, Pierre Pierlot est né le 26 avril 1921 à Paris et décédé le 9 janvier 2007.
• Paradoxalement, après un travail de fond sur l'enseignement de l'instrument, ce virtuose innova en proposant comme morceau de concours presque uniquement des œuvres écrites par des compositeurs non hautboïstes.
• C’est là qu’il a formé tous les hautboïstes français qui se sont fait un nom à cette époque, particulièrement Brod, Vinit, Verroust, Barré, Lavigne, de La Barre et plusieurs autres.
• Joué par des bassonistes, il constitue néanmoins une spécialisation au sein d'un pupitre de basson, au même titre que le cor anglais pour les hautboïstes ou la clarinette basse pour les clarinettistes.
• Il assure annuellement des sessions de perfectionnement en pratique instrumentale et en musique de chambre à l'École Britten, institut supérieur de musique de Périgueux, et forme la future génération de hautboïstes dans les académies internationales comme celle de Telč en République tchèque, Musicalp à Courchevel, ou du Festival Pablo-Casals de Prades.
• Les études de Georges Gillet ont fait reculer les limites techniques du hautbois, incluant les plus difficiles combinaisons de notes du grave, les passages les plus compliqués de l'aigu, developpant des phrases tout en octaves ou en harmoniques, des pages consacrées aux trilles, au chromatisme ou au stacato, demeurent encore aujourd'hui un défi pour tous les hautboïstes.
• L'élision d'une voyelle comprise entre deux consonnes pouvant se prononcer ensemble étant un phénomène courant en linguistique, le "e" compris entre le "g" et le "l" de engelisches a disparu et lorsque l'instrument est venu d'Allemagne en France, il y a eu erreur de traduction.Cette version est privilégiée par les hautboïstes actuels qui se sont penchés sur ce problème, l'instrument étant appelé "corno angelico" en Italie à l'époque baroque.