papavérine造句

• Pavot dont est extraite la papavérine.
• Mots clés : sécrétion d'endothéline, big endothéline, peptide auriculo-natriurétique, GMP cyclique, papavérine.
• Dans des conditions expérimentales similaires, la papavérine et le vérapamil se sont avérés plus efficaces que la kétamine.
• De plus, il semble que la papavérine induise une augmentation de la perméabilité membranaire du muscle squelettique au K+.
• Ces observations contrastent avec l'effet de la papavérine qui provoque une relaxation comparable du canal artériel avant et après oxygénation.
• Le vérapamil et la papavérine bloquèrent ces contractions, contrairement à l'atropine, la phentolamine, la yohimbine, la mépyramine et au méthysergide.
• Dans les mêmes conditions, la relaxation et l'augmentation de l'AMP cyclique provoqués par la papavérine et le SC 2964 semblent indépendants du sodium extracellulaire.
• On a comparé l'effet inhibiteur de la kétamine sur la contraction induite par l'agoniste d'utérus isolés de rats à celui de la papavérine et du vérapamil.
• Tous les tissus ont pu être rendus tachyphylactiques au PPY sans que soit affectée leur capacité de répondre aux myorelaxants à action directe ATP ou papavérine.
• Toutefois, la kétamine s'est avérée moins efficace que la vérapamil et la papavérine pour neutraliser les effets induits par une plus forte concentration de Ca2+ dans le milieu.
• Dans les tissus auriculaires, de faibles concentrations de papavérine ont augmenté les battements spontanés et la tension isométrique, alors qu'au-delà de 30 μM, son action a été renversée.
• Dans une autre expérience, la norépinéphrine a réduit la pente de la courbe diamètre vs. pression de perfusion, alors que la combinaison papavérine plus norépinéphrine, 10−4 M, l'a comparativement augmentée.
• La réponse relaxante induite par l'urotensine I dans les bandes aortiques contractées par 40 mM de KCl fut stimulée par un prétraitement avec de la papavérine ou de la forskoline.
• La capacité de EDA de relaxer la musculature intestinale a été généralement plus grande que celle du spasmolytique papavérine et nettement plus grande que la stimulation nicotinique des neurones inhibiteurs intrinsèques.
• Des trois composés, la papavérine est celui qui a inhibé le plus efficacement les contractions induites par le Ca2+ de l'aorte stimulée tant par une forte concentration de phényléphrine que de K+.
• Les phosphodiestérases dépendantes du GMP cyclique et de l'AMP cyclique des homogénates des tissus ventriculaires et auriculaires des rats ont été inhibées par la papavérine et le GS 389, mais non pas par l'higénamine.
• La papavérine montra aussi une forme d'antagonisme non-compétitif par rapport au BaCl2 avec des valeurs de de 4,59 ± 0,15, alors que la kétamine provoqua un antagonisme compétitif avec une valeur de pA2 de 4,68 ± 0,12.
• Lorsque l'élévation de pression artérielle induite par l'AII a été substantiellement atténuée ou prévenue par l'administration de papavérine ou le prélèvement de sang, les taux de sécrétions moyens d'ACTH ont augmenté de 400–800% et les concentrations moyennes d'ACTH ont augmenté de 280–500%.
• Dans des expériences continues chez chaque chien, on a laissé la pression sanguine augmenter en réponse à l'administration d'AII, ou on l'a contrôlée par des injections ou perfusions i.v. simultanées de l'hypotenseur papavérine ou par un prélèvement de sang de la veine cava.