pyrrolidine造句

• La souche O1G3 de Pseudomonas putida catalyse la dégradation de la pyrrolidine et de la piperidine.
• On considère que la paire d'électrons non-partagée de l'azote dans les dérivés de la pyrrolidine est partiellement délocalisée.
• Aucune d'entre elles n'a dégradé la morpholine, mais ces deux bactéries pouvaient utiliser la pyrrolidine et la pipéridine.
• On discute également des attributions conformationnelles des structures aminoxyle pyrrolidine à partir des spectres de RDNE et de RPE.
• Les structures furent identifiées par combinaisons d'ozonolyse, réduction partielle par hydrazine et argentation-TLC et par spectres de masse des dérivés de pyrrolidine.
• La réaction peut également être mise en œuvre sans pyrrolidine en utilisant de la N,N-diméthylenamine, mais la réaction est alors nettement plus lente.
• On a étudié la réactivité de l'époxy-fulvène 1, préparé par une condensation catalysée par la pyrrolidine du cyclopentadiène sur l'époxybutanone, avec divers nucléophiles.
• L'énamine dérivée de la pyrrolidine et de l'hydroxy-4 cyclohexanone soumise à une réaction d'annelation avec la cétone non-saturée 7 conduit à un mélange 7:3 des octalones 22 et 23.
• L’activation de NFκB et l’apoptose induite par les LAMPs de M. penetrans chez les macrophages de souris sont partiellement inhibés par un inhibiteur spécifique de NFκB, le pyrrolidine dithiocarbamate.
• Le groupement méthyle du nitrotoluène peut être déprotoné, et le carbanion qui en résulte peut attaquer la pyrrolidine activée, ce qui conduit à l'énamine avec une élimination simultanée de méthanol.
• Les cinétiques de la nitrosation de la pyrrolidine et de la proline ont été étudiées dans des solutions tamponnées à des pHs faiblement acides et à des températures entre 40 et 100 °C.
• Neuf souches bactériennes capables de croître sur morpholine ou pyrrolidine comme seule source de carbone, d'azote et d'énergie ont été isolées de différents environnements ne présentant pas de contamination connue par la morpholine.
• La croissance de M. fortuitum et M. smegmatis mc2155 sur ces composés implique la présence d'un cytochrome P450 ce qui suggère que les mycobactéries sont naturellement capables d'utiliser la pyrrolidine et qu'elles ont développé une voie enzymatique similaire pour métaboliser cette amine.
• Par diffraction des rayons-X on peut démontrer que, dans le composé 9, le groupement pyrrolidine est en position 7 et que le groupement hydroxyle en position 5 est impliqué dans une forte liaison hydrogène intramoléculaire qui le lie à l'atome d'oxygène de la cétone en position 4.
• L'analyse de la composante normale du moment dipolaire de la HPRO, −0,8 D révèle que l'orientation la plus probable de cet acide aminé adsorbé sur le mercure est celle où le cycle de la pyrrolidine est parallèle à la surface de l'électrode avec le groupe hydroxyle éloigné de la surface.
• Cette mono-oxygénase est une enzyme dépendante du NADH et catalyse le clivage du lien C—N de l'anneau de la pyrrolidine et de la piperidine par un mécanisme ressemblant à une désalkylation N. Cette réaction pourrait être suivie par un clivage de l'anneau pour former du g-aminobutyraldéhyde à son tour oxydé en du g-aminobutyrate.
• La réaction avec le cyanoformate de méthyle, réalisée en présence d'acétate d'argent et d'acide acétique, conduit au β-cétoester 8b; toutefois, lorsque cette addition est réalisée en l'absence de ces additifs et particulièrement lorsqu'on ajoute de l'éther 12-couronne-4 à l'énolate, il se produit plutôt une ouverture de cycle conduisant au dérivé de la pyrrolidine 10.