obséder造句

• Les erreurs qu'ils commettent ne doivent pas vous obséder au point de les dissuader de vous consulter éventuellement.
• «Monsieur Chabord a exécuté pour le ministère de l’intérieur une Transfiguration, entreprise audacieuse, et dans laquelle les réminiscences de Raphaël ont dû continuellement obséder l’artiste.
• La vigilance à laquelle nous sommes désormais tenus ne doit pas nous obséder au point de ne plus regarder l'autre que d'un oeil soupçonneux et méfiant.
• Ce schizophrène violent qui est un dessinateur de génie pourrait être un des modèles de Moravagine, le "grand fauve humain" qui va obséder Cendrars comme un double pendant de longues années.
• Ne laissez pas la couverture médiatique vous obséder Il est extrêmement difficile pour les simples députés de bénéficier d’une grande publicité, à moins d’attaquer leur chef ou de poser des gestes démesurés.
• Les critiques de Dawson et d'autres universitaires recommencèrent à obséder la C.S.C. Les tentatives de la Commission pour résoudre le problème en avertissant les ministères que leurs requêtes ne convenaient pas à son programme de planification des carrières eurent évidemment peu de succès.
• Le deuxième comportement masculin typique est un impératif patriarcal qui est peut-être le plus honteux et le plus atavique des instincts primitifs qui sommeillent encore dans les replis archaïques de notre cerveau : l'idée que l'on doit d'une certaine manière supplanter son propre mentor, chasser la génération précédente dans le désert, et faire de soi le chef de la meute semble obséder les hommes.
• Pour œuvrer à la réalisation de nos objectifs dans des domaines aussi importants que les problèmes du développement appuyé sur la technologie, les problèmes de l'eau, la promotion de la bonne gouvernance en tant que fondement de la paix et le renforcement de la capacité des Nations Unies de lutter contre le terrorisme, nous devons concentrer nos énergies et éviter de nous laisser obséder à tort par un ordre du jour répétitif.
• M. Heatherington a déclaré que M. Pardy se méfiait des Syriens et qu’il n’accordait pas suffisamment de poids à l’idée que le gouvernement syrien pouvait simplement tenter d’indiquer que M. Arar avait des liens avec l’extrémisme islamiste en général760. Tout en reconnaissant qu’en octobre 2002, le général Khalil insistait pour dire que M. Arar était un recruteur d’Al-Qaïda, l’ambassadeur Pillarella a témoigné qu’Al-Qaïda et les Frères musulmans étaient étroitement liés dans l’esprit des Syriens et que les Frères musulmans continuaient à obséder le gouvernement syrien761.